Oh, qu’importent mes peines et mes malheurs si
j’ai en moi la force d’être heureux !
Vous savez, je ne comprends pas comment on
peut passer à côté d’un arbre sans être heureux de le voir.
Parler avec un homme et ne pas se sentir heureux
de l’aimer !
Oh, je ne sais seulement pas m’exprimer…
combien de belles choses ne rencontre-t-on pas à chaque pas, si belles que même
l’homme le plus désemparé ne peut pas ne pas les trouver belles.
Regardez un enfant, regardez l’aurore du bon
Dieu, regardez l’herbe qui croît, regardez les yeux qui vous regardent et qui
vous aiment.
Fiodor Dostoïevski
Dostoïevski a toujours été dans mon petit Panthéon. Alors que je n'étais qu'une grande adolescente. J'aimais particulièrement la Maison des morts. Va savoir pourquoi!!
RépondreSupprimerJ'adhère complètement au texte que tu nous proposes aujourd'hui. Il faut s'accrocher à ce qui est beau et il y a beaucoup de belles choses autour de chacun d'entre nous.
Bonjour Josette. J'aime beaucoup cette citation qui me convient parfaitement. Il y a tant de belles choses et de gens agréables autour de nous. Il suffit de les voir, de leur parler. Bonne journée et bisous
RépondreSupprimerUn état d'esprit qui fait que même les petites joies vous transportent, merci Josette... JB
RépondreSupprimerCoucou ma Josette.
RépondreSupprimerComme c'est beau !
Bises et bon jeudi - Zaza
De sages conseils, on a tant à apprendre de la nature. Je découvre ce texte de Dostoievski. Très beau
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