Pour notre croqueuse de temps Jeanne Fadosi
Celles et ceux qui me suivent depuis longtemps
aux défis d'écriture des CROQUEURS DE MOTS
se souviennent peut-être qu'un de mes dadas,
c'est le temps, qu'il soit météorologique ou historique.
Illustrer à votre manière
(prose, vers, dessins, images)
(pas trop long svp),
un monde où le temps serait aboli.
(Celui de l'Histoire ou celui de la météo ou les deux)
Cette nuit alors que le jour se levait j’ai pu observer la
fuite du temps
En effet l'heure entraînait dans sa fuite sa fille la
tirant par la main
Sans doute lassée de tourner en rond
Elle avait brisé la fenêtre pour prendre la poudre
d’escampette
Toutes deux couraient se dirigeant vers l’ouest
Pressées semble-t-il d’échapper au soleil
Elles ne supportaient plus cadran et ressorts
Un travail sans fin menant à la mort
Éprise d’une envie de liberté
Mère et fille se sont évadées
En route pour l’éternité
Elles se rient du soleil et de la pluie
Plus de météo ni de climatologie
Ne craignant pas les ouragans
Ni même l’explosion des volcans
Rendez-vous dans la galaxie
Le temps court à l’infini
Si les horloges, les aiguilles ne veulent plus faire leur job.... depuis le temps, on peut comprendre leur envie de jouer les filles de l'air..... ,-) bises JB
RépondreSupprimerBonjour Josette. J'aime beaucoup ton poème sur cette fuite du temps où mère et fille ptennent la poudre d'escampette. Bonne journée et bisous
RépondreSupprimerDame, si les aiguilles se font la malle des horloges, nous sommes mal barrés !!!🤣
RépondreSupprimerBises et bon début de semaine ma Josette - Zaza
https://zazarambette.fr
si le temps pouvait parfois s'arrêter, j'aime beaucoup cette poudre d'escampette
RépondreSupprimerJ'ai toujours en tête la phrase de Ronsard: " Le temps s'en va, le temps s'en va, madame ;
RépondreSupprimerLas ! Le temps, non, mais nous nous en allons."
Pas d'autre choix que de l'accepter...
Alors cueillions les roses de la vie toute la semaine...
Bravo Josette pour cette escapade des aiguilles , une liberté joliment exprimée .
RépondreSupprimerBon lundi
Bises
J'adore ton texte!...Les aiguilles s'enfuient, l'horloge s'arrête...à nous l'éternité
RépondreSupprimerSi l'on pouvait arrêter les aiguilles
RépondreSupprimerAu cadran qui marque les heures de la vie Berthe Sylva
Photo de Concarneau!
RépondreSupprimerJe repasse plus tard voir les textes sur ce thème interessant !
Le temps passe bien au fil des mots!
SupprimerLe début de ton texte m’a fait penser à Raymond Devos
Missyves
Comme c'est bon, Josette, que cette escapade ! Super ! Bisous
RépondreSupprimertrès original cette escapade j'ai adoré bises
RépondreSupprimerJ'aime bien ton idée de fuir vers l'ouest en prenant la poudre d'escampette...quel dommage qu'on ne puisse pas arrêter le temps :) Bises et une douce journée
RépondreSupprimerbonjour
RépondreSupprimerles aiguilles aussi sont fatigués de courir aprés le temps ..alors elles s 'envolent
je pense que la photo avec ce clocheton est prise à CONCARNEAU çà ressemble beaucoup
bonne fin de journée
kénavo Josette
Fuir le temps, mais lequel, moi ce serait plutôt, pas le temps qui passe, mais le temps qu'il fait.
RépondreSupprimerJe voudrais pouvoir fuir la pluie, le vent et le temps gris.
En fait, nous n'avons pas d'autre choix que d'accepter le temps qui passe et le temps qu'il fait.
Oui, c'est bien Concarneau.
Belle journée Josette et gros bisous !
Claude
Josette, j’aime bien ton histoire d'aiguilles fugueuses.
RépondreSupprimerLes aiguilles parties, reste le cadran, tout n'est pas perdu !
On doit pouvoir le mettre au soleil pour en faire un cadran solaire ;-)
Bises et bon samedimanche
j'adore ton petit poème !! j'espère que les aiguilles des horloges reviendront au bercail car sans heure je ne sais pas vivre ! gros bisous ma Josette !
RépondreSupprimerL'ennuyeux avec le temps c'est qu'il ne se rattrape pas....Bisous bisous
RépondreSupprimerPas de panique ! ... les aiguilles se sont sans doute réfugiées dans des bottes de foin, suffit de les chercher (ou pas ...) :)
RépondreSupprimerSolveig
Bonjour Josette, de la fuite du temps à l'espoir d'éternité, il n'y a qu'un pas ...
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