samedi 11 mars 2017

Herbiers de poésie page 69


Pour l'Herbier de poésie page 69

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L'herbe s'anime au rythme de la guitare
L'herbe plie sous le poids de la nostalgie
Il est loin le Chili

Les yeux s’écarquillent
Devant la marionnette qui porte l'émotion
De la danse des abeilles...
On ne guérit jamais de son enfance

16 commentaires:

  1. C'est tout à fait cela Josette, un exilé obligé... merci, bises de jill

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  2. exilé ou pas, on ne guérit jamais de son enfance ! qu'elle ait été bonne ou mauvaise, les souvenirs continuent à nous faire agir et vivre en fonction d'eux....bises !

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  3. On ne guérit pas de l'enfance... mais on peut s'en souvenir comme d'un cadeau - aussi!

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  4. J'essaie de vivre mon "exil" -très relatif d'ailleurs-, comme une chance!
    Quant à notre enfance, ne nous inquiétons pas, nous y retournons à petits pas les années passant!!!
    Bisous Josette et bon samedi!

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  5. Ta dernière phrase est très juste.
    D'ailleurs,l'enfance forme l'être humain de demain.
    L'exil volontaire ou pas , est toujours douloureux.
    Bon week end

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  6. On ne guérit jamais de son enfance et quand en plus il y a l'exil, on est marqué pour la vie.Il faut apprendre a se construire en ayant un pied dans chaque pays. Beau billet Josette :)
    Bisous

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  7. Loin de ses racines, on se souvient d'une odeur (comme le lilas) et de l'enfance qui semble plus proche...
    Bon dimanche !

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  8. Bonjour Josette. Un beau poème sur l'exil !

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  9. Bonjour Josette, Je n'ai pas pu visionner la vidéo... Dommage...
    J'aime beaucoup le poème
    Bel après midi

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  10. "On ne guérit jamais de son enfance"
    c'est tellement vrai!

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  11. La vidéo ne s'est pas non plus déclenchée pour moi...
    Saudade, nostalgie et une pensée de Lucie Delarue Mardrus, si profonde ...

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  12. Très jolie ballade de Nelson Poblete. Un joli partage ma Josette.
    Bises et bon mardi

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  13. C'est beau et la conclusion finale si vraie. Je suis en vacances dans l'aisne à center park et donc en pose commentaires sur les blogs jusqu'à lundi prochain n'emmenant pas mon PC puisque je n'aurai pas le wi fi. Si j'ai la 4G je passerai au moins vous lire. Belke semaine Josette

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  14. C'est jolie et si vrai l'enfance nous marque pour la vie.

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  15. Je vais dire comme Gine ! Pour guérir de son enfance, il faut qu'elle soit souffrance.
    Mais oui bien sûr, l'exil est parfois très dur même si il est heureux.
    Gros bisous Josette.

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  16. L'enfance est toujours au bout du chemin.

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