L'herbe s'anime au rythme de la guitare
L'herbe plie sous le poids de la nostalgie
Il est loin le Chili
Les yeux s’écarquillent
Devant la marionnette qui porte l'émotion
De la danse des abeilles...
On ne guérit jamais de son enfance
LC de la Cachette texte
C'est tout à fait cela Josette, un exilé obligé... merci, bises de jill
RépondreSupprimerexilé ou pas, on ne guérit jamais de son enfance ! qu'elle ait été bonne ou mauvaise, les souvenirs continuent à nous faire agir et vivre en fonction d'eux....bises !
RépondreSupprimerOn ne guérit pas de l'enfance... mais on peut s'en souvenir comme d'un cadeau - aussi!
RépondreSupprimerJ'essaie de vivre mon "exil" -très relatif d'ailleurs-, comme une chance!
RépondreSupprimerQuant à notre enfance, ne nous inquiétons pas, nous y retournons à petits pas les années passant!!!
Bisous Josette et bon samedi!
Ta dernière phrase est très juste.
RépondreSupprimerD'ailleurs,l'enfance forme l'être humain de demain.
L'exil volontaire ou pas , est toujours douloureux.
Bon week end
On ne guérit jamais de son enfance et quand en plus il y a l'exil, on est marqué pour la vie.Il faut apprendre a se construire en ayant un pied dans chaque pays. Beau billet Josette :)
RépondreSupprimerBisous
Loin de ses racines, on se souvient d'une odeur (comme le lilas) et de l'enfance qui semble plus proche...
RépondreSupprimerBon dimanche !
Bonjour Josette. Un beau poème sur l'exil !
RépondreSupprimerBonjour Josette, Je n'ai pas pu visionner la vidéo... Dommage...
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup le poème
Bel après midi
"On ne guérit jamais de son enfance"
RépondreSupprimerc'est tellement vrai!
La vidéo ne s'est pas non plus déclenchée pour moi...
RépondreSupprimerSaudade, nostalgie et une pensée de Lucie Delarue Mardrus, si profonde ...
Très jolie ballade de Nelson Poblete. Un joli partage ma Josette.
RépondreSupprimerBises et bon mardi
C'est beau et la conclusion finale si vraie. Je suis en vacances dans l'aisne à center park et donc en pose commentaires sur les blogs jusqu'à lundi prochain n'emmenant pas mon PC puisque je n'aurai pas le wi fi. Si j'ai la 4G je passerai au moins vous lire. Belke semaine Josette
RépondreSupprimerC'est jolie et si vrai l'enfance nous marque pour la vie.
RépondreSupprimerJe vais dire comme Gine ! Pour guérir de son enfance, il faut qu'elle soit souffrance.
RépondreSupprimerMais oui bien sûr, l'exil est parfois très dur même si il est heureux.
Gros bisous Josette.
L'enfance est toujours au bout du chemin.
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