Comme tant d'autres
il est mort à vingt ans
ce poilu
Sur la colline
seule la pierre est vivante
- Souvenirs
Dans le petit bois
qui se souvient des poilus
- Ossuaire anonyme
*clic sur photo mieux pour se rendre compte de l'importance du lieu
LC de la Cachette texte -clic sur photos
Coucou Josette, Charles Emile, tué à l'ennemi dans ses 20 ans, il en avait mieux à faire de son bel âge…. nous avons tous un cimetière du genre, plus ou moins grand… ah s'ils pouvaient revenir !! Merci, bises
RépondreSupprimerBonjour Josette
RépondreSupprimerIl faut en parler pour que tous prennent conscience ..
Merci à toi
Bises
Bonjour Josette
RépondreSupprimerIl y en a partout dans le nord de ces cimetières de croix anonymes...Tous ces soldats tombés qui représentaient pourtant l'avenir du pays, cette jeunesse envolée. Si cela pouvait faire réfléchir les hommes et les inciter en rester en paix. Mais ceux qui prennent les décisions sont bien loin du "peuple" et ça ne change pas aujourd'hui. Bises et merci pour ce bel hommage
On pense souvent combien il a été injuste de mourir si jeunes à la guerre.
RépondreSupprimerMais tout ce qui a été vécu avant de mourir a peut-être encore été plus horrible. Des conditions de survie inhumaines et tuer ou être tué.
Bises Josette
Bonjour Josette. De beaux haïkus pour ces pauvres Poilus qui ont vécu les horreurs de la guerre. Bisous
RépondreSupprimerIls ont été tant et tant à mourir à 20 ans!
RépondreSupprimerSouvenirs et mémoires pour ne pas oublier
Bravo Josette ! Superbe hommage !
RépondreSupprimerBonne poursuite de ce vendredi,
Bises♥
Page de l'Histoire
RépondreSupprimers'écrivant au cimetière
larmes du souvenir
Partir à 20 ans la fleur au fusil et ne pas revenir.
RépondreSupprimerJ'étais jeune mais je me souviens de la visite à Verdun.
Bises
bonsoir
RépondreSupprimermourrir à 20ans ..
oui on leur doit le respect et , de ne jamais oublier ces jeune hommes
un bel hommage Josette
kénavo
Un tres bel hommage en haïku pour ces soldats tombés dans la fleur de l'âge .
RépondreSupprimerBises
Mon grand-père paternel Gosselin Léon est parti à la Grande Guerre en 1914, et par chance a pu en revenir vivant... et nous avons pu ainsi continuer notre histoire familiale : mon papa Justin avait 3 mois. Merci de ne pas oublier ceux qui sont restés au champ de bataille, et leur rendre hommage.
RépondreSupprimerCordialement.
Je découvre vos pages.
Morts ou estropiés, souvenons nous.... Et tant de veuves et d'orphelins !
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