A eau ou à vent
regrets des moulins d’antan
que d'éoliennes
Dans les bras d’Éole
la terre comme un tableau
griffée de moulins
Des ennemis
que l'Homme de la Manche
à combattu
LC de la Cachette- texte, clic sur photos
la terre comme un tableau
griffée de moulins
Des ennemis
que l'Homme de la Manche
à combattu
LC de la Cachette- texte, clic sur photos
Moulin d'eau
RépondreSupprimerque ta roue de bois tourne
dans les flots de la rivière
Moulin à vent
que tes ailes toilées volent
au vent d'Eole.
Bises
Point de Rossinante des temsps modernes a l'horizon :-)
RépondreSupprimerTournent les ailes des éoliennes...
RépondreSupprimerChante le vent
dans les moissons...
Bravo pour tes mots
La modernité, le modernisme peuvent être source d'inspiration:tu le prouves brillamment !
RépondreSupprimerj'adore les éoliennes .......je ne trouve pas qu'elles déparent le paysage ! bravo à l'homme de la Mancha, sur rossinante qui parti combattre des moulins à vent.....Brel l'a si bien mis en valeur ! bises!
RépondreSupprimerCoucou Josette, tu as pris de la hauteur dis-moi... eh oui à eau ou à vent... en reste peu, un dans ma ville encore... Ah Don Quichotte et Sancho.... merci à toi, bizzzzzzzzz
RépondreSupprimerC'est magnifique, merci
RépondreSupprimerje te souhaite un bon vendredi
bisous
Ces éoliennes défigurent le paysage ma Josette. Bises et bon vendredi. ZAZA
RépondreSupprimerBonjour Josette,
RépondreSupprimerQuelques soient les sujets, tu as toujours bonne inspiration au RV du coucou .J'aime les moulins , à vent , à grains et les éoliennes ne me gênent pas trop , il fait bien suivre, nous aussi le vent qui nous mène
Je t'embrasse
j'aime beaucoup la photo 2 et ses mots.
RépondreSupprimerJ'aimerai bien mais je ne suis pas en vacances...
bon wk
ah , elle s me prennet le coeur les éoliennes des grands oiseaux qui font peut de bruit pour leur surfaces
RépondreSupprimerbenefique pour notre electricité
tu sais bien les faire jouer leurs mots pour elles gros bisous
J'aime beaucoup les éoliennes, je les trouve gracieuses sur leurs échasses...
RépondreSupprimerJe t'embrasse, Josette.
C'est très très très beau "la terre griffée de moulins".
RépondreSupprimerBises, bonne soirée, Marc de Metz.
Très belles photos.
Bonjour, Josette T.
RépondreSupprimerExpression d'une grande importance.
Photographie fascinante.
Passez une bonne journée. Du Japon, ruma ❀
On veut bien croire en leur utilité,
RépondreSupprimermais ces tridents rotatifs sont d'une agressivité !!
Comparées aux éoliennes de pompage de nos campagnes (voir dans cette page) celles qui servaient à abreuver les vaches dans les près, ces engins modernes sont totalement dénués de charme.
Très bien, tes haïkus, Josette
tu as parfaitement résumé le problème
Bises et belle fin de semaine
Coucou Josette dans ta Cachette ! Beaux tercets, même haïkus ! Ces éoliennes nous laissent perplexes, ou merplexes, en effet ! Grrr, toujours malade, devrais en avoir pour une semaine encore mais cette fois je vais pouvoir me reposer. Gros bisous.
RépondreSupprimersans doute utiles pour l'énergie, elles sont bien bruyantes et dénaturent les paysages
RépondreSupprimerC'est vrai que les moulins avaient plus de charme mais moins d'efficacité.
RépondreSupprimerLa deuxième photo est très originale.
RépondreSupprimerJe préfère nos vieux moulins.
Belle soirée Josette
Coucou Josette,
RépondreSupprimerCes éoliennes t'ont bien inspirée. j'avoue que moi non. Il y en a beaucoup dans l'Aude. Je dirai même que leur forêt s'agrandit. C'est horrible, surtout vers Narbonne.
Ts photos sont chouettes. la second est très originale
bravo!
Bises
moulins de mon coeur
RépondreSupprimerwww.youtube.com/watch?v=OSD0AaIoYyo
RépondreSupprimerFlûte! J'ai raté le lien direct!
Les moulins avaient une douceur que sés éoliennes n'ont pas. La vue du haut est très belle. Bisous
RépondreSupprimerDans le matin blafard
RépondreSupprimeril a soufflé sur les moulins
Un vent de bataille
Bravo Josette ! J'adore "la terre griffée de moulins" !
RépondreSupprimerBisous
C'est vrai que les moulins sont bien plus beaux mais ces engins là sont très impressionnants quand on se retrouve à leurs pieds.
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