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Le gardien de phare aime trop les oiseaux
Des oiseaux par milliers volent vers les feux
Par milliers ils tombent par milliers ils se cognent
Par milliers aveuglés par milliers assommés
Par milliers ils meurent.
Le gardien ne peut supporter des choses pareilles
Les oiseaux ils les aiment trop
Alors il dit tant pis je m'en fous
Et il éteint tout ! ! !
Au loin un cargo fait naufrage
Un cargo venant des îles...
Un cargo chargé d'oiseaux...
Des milliers d'oiseaux des îles...
...Des milliers d'oiseaux noyés...!
Jacques Prévert
Ah quel dilemme cher Jacques, quel dilemme.... Merci Josette, bises jill
RépondreSupprimerUne magnifique poésie de Prévert. Merci ma Josette
RépondreSupprimerBises et bon jeudi
Zaza
Voilà un poème de Prévert que je ne connaissais pas ou que j'ai oublié (comment est-ce possible ?!). Il est superbe comme toujours et à méditer (sur nos décisions et leur conséquence). Merci pour ce partage. Bises
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce poème de Jacques Prévert. Bonne journée et bisous
RépondreSupprimerje ne connaissais pas ce poème réaliste de Prévert, merci pour la lecture.
RépondreSupprimerMagnifique poésie à méditer!
RépondreSupprimerVoilà un poème de Prévert que je ne connaissais pas.
RépondreSupprimerMais peut-être valait-il mieux que quelques-uns périssent pour que vivent tous les autres oiseaux.
Il n'y a pas de bons choix, finalement...
Un poème pessimiste ou réaliste?
Bisous, Josette.
bonjour
RépondreSupprimerune magnifique poésie à méditer
je te souhaite une bonne fin de semaine
kénavo Josette
Rhooo quelle tristesse.. devoir faire des choix..un cargo d'oiseaux exotiques.. des milliers d'autres oiseaux 🐦 du coin.. Le choix est cornélien.. je choisis un monde sans phare et sans cargo... bon ça sera dur dur pour tous les vacanciers, pour tous nos colis qui viennent du bout du monde... Ben on commandera plus, on restera chez nous et les oiseaux continueront de proliférer.... t'as remarqué ? Je délire un peu.. je rentre d'un enterrement, et je suis triste... bisous Josette !
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RépondreSupprimerGatteville: du côté de chez moi!
chouette photo.
Et ce poème à inspiré Claudie Galley!
miss yves
Oui les déferlantes... Ici c est la ponte de Penmarch.
SupprimerJe suis passée au phare de Gatteville la semaine dernière !
Penmarch, je connais!
RépondreSupprimerSachant que tu devais faire un tour dans le Cotentin, j’ai fait un amalgame .
miss yves
Pas drôle Prévert cette fois !
RépondreSupprimerJe t'embrasse, Josette, bien fort !
Je découvre ce poème de Prévert . Quelle ironie du sort !
RépondreSupprimerBon jeudi
Bises
Jazzy57