Au creux de l'heure,
Quand cesse le vent,
Quand se taisent
Les oiseaux, plus rien
Que la lueur du jour,
Que les choses muettes
Avec leurs ombres
Et leurs maux.
Sans savoir pourquoi
Je dis soudain toi,
Devinant sans doute
Que tu es là,
Infiniment présent,
Infiniment pressant,
Indéfiniment
En attente,
Au creux de l'heure,
Au creux des mots.
François CHENG - la vraie gloire est ici
(page programmée)
Coucou Josette.
RépondreSupprimerUn très beau poème de François Cheng. Merci.
Bises et bon jeudi.
Zaza
Merci Josette, l'absence, soudain..... bon jeudi, bises jill
RépondreSupprimerCoucou ma douce Josette,
RépondreSupprimerC'est un très beau poème que j'ai vraiment aimé lire :-)
Merci beaucoup pour ce beau partage, gros gros bisous
Floralie