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La nuit
n’est jamais complète
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager.
Il y a toujours puisque je le dis
Puisque je l’affirme
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie la vie à se partager.
Paul Eluard 1895 - 1952
Superbe poème Josette, merci !
RépondreSupprimerBises et bon jeudi - Zaza
merci Josette
RépondreSupprimerj' aime beaucoup ce poéme
bon mercredi bises
C'est vrai après tout ! Merci Josette, jill
RépondreSupprimercombien on l’aime ce poète , ses textes n'ont pas pris une ride !
RépondreSupprimerBonjour Josette. Merci pour le partage de ce joli poème. Bonne journée et bisous
RépondreSupprimerCe poème va bien avec la peinture de Marc Chagall...
RépondreSupprimerUne petite dose de positif fait toujours du bien!
RépondreSupprimerAvec les mots d'Eluard, c'est encore mieux!
Bisous
Paul Eluard sait si bien distiller l'espoir...ce poème est très beau je ne le connaissais pas. Il est tellement vrai. Merci pour le partage. Bises et un bel après-midi
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