C'est vrai, j'aime Paris d'une amitié malsaine ;
J'ai partout le regret des vieux bords de la Seine
Devant la vaste mer, devant les pics neigeux,
Je rêve d'un faubourg plein d'enfants et de jeux.
D'un coteau tout pelé d'où ma Muse s'applique
A noter les tons fins d'un ciel mélancolique,
D'un bout de Bièvre, avec quelques chants oubliés,
Où l'on tend une corde aux troncs des peupliers,
Pour y faire sécher la toile et la flanelle,
Ou d'un coin pour pêcher dans l'île de Grenelle.
François COPPÉE 1842 - 1908
Comment ne pas aimer les grandes villes pleines de tout...merci Josette, bon jeudi/poésie, bises
RépondreSupprimerBonjour Josette
RépondreSupprimerOn pourrait transcrire ce texte à cette période de vie que nous vivons ....
Ainsi va la vie
Bises Josette
J'aime Paris mais pas tout à fait comme lui !!!
RépondreSupprimerIl est très beau ce poème pour honorer la capitale Josette, bravo !
RépondreSupprimerBises et bon jeudi
Avec cette pandémie qui n'en finit pas, je me demande si je reverrai un jour Paris.
RépondreSupprimerJe commence à vivre mon "exil" avec difficulté même si beaucoup sont plus à plaindre que moi.
Bonne journée, Josette.
Grosses bises
Un Paris qui avait encore des aspects villageois.
RépondreSupprimerMoi aussi, l'animation des grandes villes, leur bouillonnement culturel me manquent.
ha Paris......Ville fascinante mais épuisante a visiter. Bisous
RépondreSupprimerBen écoute, comme j'ai oublié cette publication sur mon blog, je la mets ici.
RépondreSupprimerMa Ville
Du cinquante sixième étage d’une très haute tour en verre,
Érigée à l’endroit d’une ancienne gare de chemin de fer,
J’ai une très belle vue panoramique.
Je vois la ville, en rond, en large et en travers,
J’ai une vue magnifique.
Je vois des pâtés d’immeubles en pierres
Entrecoupés de boulevards, d’avenues et grandes rues
De la ville elles sont les artères,
Sans oublier les impasses et les petites rues.
Madame la Tour, élancée dans le ciel,
Campées sur ses quatre fers,
L’ Arche de l’Etoile posée sur un soleil
Dont les rayons sont de la ville les plus belles avenues.
Je vois des parcs, des jardins et des espaces verts
Des dômes, des coupoles et des clochers,
Une grande place et son obélisque
Et celle de célèbres bijoutiers.
Je vois une butte qui a elle seule est tout un quartier
Une autre tout en vert.
La Cathédrale et ses tours carrées,
Sa traîne de pierre dentelée,
Et des monuments historiques
Au loin, les tours de verres
Du quartier des affaires,
Et en périphérie, des bois dont celui de Vincennes.
Sous des ponts et des passerelles
Coulent les méandres de la Seine
Entre rive gauche et l’autre rive
Dieu ! Que la ville est belle !
De ce spectacle je suis captive.
Ça c’est Paris !
Paris est une Blonde ;
Paris sera toujours Paris,
Bonne fin de journée et gros bisous !
Reine et la plus belle ville du Monde.
super Claude merci pour ton ode à Paris !
Supprimerma chére JOstte je t'embrasse très fort ey tu mests des textes dhommes politiques
Supprimeroui c'est le moments de les stimulér
a tres bientot plrind fr yrndre baisers
Mon prochain jeudi poésie du 28 janvier sera ici :
RépondreSupprimerhttp://jardin-des-mots.eklablog.com/belle-jeunesse-pour-ce-jeudi-poesie-a205168178
Un poète qui a chanté la ville et ses rues. La rue de Bièvre a sans doute bien changé du moins pour ce qui est de ce qui en est la vie. Imagine-t-on du linge sécher entre deux fenêtres ? bises
RépondreSupprimerUn tres bon choix avec ce poème de François Coppée qui nous chante le Paris de son époque .
RépondreSupprimerBonne soirée Josette
Bises
Un Paris nostalgique dans les mots du poète et une belle lumière sur ton image.
RépondreSupprimerNous portons tous les paysages de notre enfance dans le coeur et aucun paysage ne remplacera cette tendresse.
Un vrai parisien ! J'aime visiter Paris, mais je ne pourrais pas y vivre,surtout à notre époque.
RépondreSupprimerBon week end !
Un poète qui aime sa ville et sait la mettre en valeur mais il faut dire aussi que Paris en ce temps-là n'était pas le Paris d'aujourd'hui, même si déjà il y avait du monde, les bords de seine, les petits quartiers périphériques devaient avoir encore davantage de charme ! Bises et merci pour ce partage
RépondreSupprimerBonsoir Josette. Ce Paris-là avait beaucoup de charme avec ses petits quartiers et ses bords de Seine. Bonne soirée et bisous
RépondreSupprimerun joli poème pour un Paris qui a bien changé. Je n'habite pas Andlau mais nous y avons passé une semaine avec le confinement de fin octobre.
RépondreSupprimerBises
Un amoureux de Paris, ça se défend, bien que Paris ait changé je crois bien...
RépondreSupprimerBises de Zoupie
Paris bien chanté par François Coppée
RépondreSupprimerbien dit par ce poéte
RépondreSupprimerPARIS à du charme c'est certain
mais pour moi d eloin et en photos
bonne fin de journée pour toi
kénavo Josette
J'ai vécu un temps à paris lorsque j'étais môme. Je me souviens du jardin des plantes, de la seine, des bouquinistes...
RépondreSupprimerUne très belle ville
Bisous
Paris me manque, vais-je le revoir un jour ? Pourtant je dois aller vider la petite chambre de bonne. Qu'allons nous devenir ? Bisous
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