LE HEURTOIR
Je voudrais entendre cogner
Le heurtoir en laiton vieilli
La tête du bélier
Qui s’écrase et gémit.
Je voudrais être dérangée
Par ses coups répétés
Timidement d’abord
Puis de plus en plus fort.
Je voudrais dévaler l’escalier
Crier : « Voilà, voilà »
Sauter sur le palier
Distinguer une voix
Et sourire à quelqu’un.
Ô triste solitude que voilà… Merci Josette, bises
RépondreSupprimerTristesse et désolation derrière cette porte !
RépondreSupprimerBonne journée Josette
Bises
Solitude et espoir! Une belle découverte que ce texte!
RépondreSupprimerMoi qui ai un heurtoir sur ma porte, je suis parfaitement en accord avec ces mots...
RépondreSupprimerTriste mais très beau Josette. Bises et bon jeudi
RépondreSupprimerUne poésie "surfaite", je suis sûre qu'il y a une foule d'amis/es qui sonne à ta porte :-)
RépondreSupprimerJe t'embrasse !
Une belle poésie , pleine d'émotion un tres bon choix Josette
RépondreSupprimerBonne journée
Bises
Très joli choix.....Bisoussss Renée http://envie2.be/
RépondreSupprimerSuperbe page!
RépondreSupprimerOuvrir une porte c'est accueillir sur le seuil un sourire,
une larme,
une gerbe d'amour...
J'aime beaucoup les heurtoir. Il y en a de très beaux. Bisous
RépondreSupprimerUn très bon choix, Josette ! Bravo et bon vendredi ! Bises♥
RépondreSupprimerC'est un très joli poème, émouvant, sur la solitude... Bisous
RépondreSupprimerTout à fait, Josette, un demain en sous-main, très beau poème et super photo. Bisous !
RépondreSupprimerTriste cet isolement qu'aucune visite ne vient rompre ! beau poème ! bises
RépondreSupprimerun très beau poème ; certaines personnes ont du mal à se lier avec d'autres, par timidité et par choix aussi. Bises
RépondreSupprimerBelle interprétation de la solitude.
RépondreSupprimerJoli partage.
Bisous.
Domi.