samedi 29 décembre 2012

Photo de la semaine (5)

Noël !
Pour la plus jeune de mes petites le père Noël a déposé des grosses briques empilables...d'une marque très connues  dans ses souliers
Les enfants sont repartis et à mon tour je vais m'absenter quelques jours, si je n'ai pas eu le temps de vous écrire cette semaine sachez que je vous ai lus, rendez-vous à partir du 7 janvier.
Je vous souhaite une belle année, toutes mes pensées vous accompagnent.
C'est "ma" photo de la semaine pour Amartia


jeudi 27 décembre 2012

jeudi poésie Dernier vœu Théophile Gauthier


Pour  « Les Croqueurs de Mots »
Jeanne Fadosi à la barre n° 93
Dernier voeu
Voilà longtemps que je vous aime :
- L'aveu remonte à dix-huit ans ! -
Vous êtes rose, je suis blême ;
J'ai les hivers, vous les printemps.
Des lilas blancs de cimetière
Prés de mes tempes ont fleuri ;
J'aurai bientôt la touffe entière
Pour ombrager mon front flétri.
Mon soleil pâli qui décline
Va disparaître à l'horizon,
Et sur la funèbre colline
Je vois ma dernière maison.
Oh ! que de votre lèvre il tombe
Sur ma lèvre un tardif baiser,
Pour que je puisse dans ma tombe,
Le cœur tranquille, reposer.

Théophile Gautier (Emaux et camées)
photo

mercredi 26 décembre 2012

Récré du mercredi

Prénom de la récré du mercredi chez Jill
Mon Cadet est-il roux ? non pas, même s'il a bien 3 maisons pour loger les hirondelles...
Le pôv' tout pour l'ainé, pour mon Cadet les armes et la campagne...
 tout petit comme le poucet Cadet.
Devenu soldat de moindre importance et sans souci il a attendu patiemment ce bon Edmond qui lui donna la célébrité et le bel accent de la Gascogne

vendredi 21 décembre 2012

Coucou du haïku

Jisei* pour le coucou du Haïku du 21 / 12 / 2012
Précision de Marie-Alice : *Le jisei est un haïku d'adieu ou poème de mort...
           Mamylilou
Ma pipe est cassée - 
En  route pour le paradis
Porte* refermée
*Porte : Lieu de passage entre deux mondes

jeudi 20 décembre 2012

Bonnes fêtes

C'est la trêve des confiseurs...
Je vous souhaite de très belles fêtes et je vous retrouve bientôt
Bonne année !

jeudi poésie iles de la nuit Louis Brauquier




A la barre Lilou


Louis BRAUQUIER (1900 - 1976)

Îles de la nuit
Alors, les oiseaux froids émigrent vers les Îles
Malheureuses, dérivantes sur l'Atlantique,
Sous leur suaire de brouillards, dont les navires,
Aveugles, traversent la frange à la corne de brume.

Ah ! encore une fois, entendre ces appels
Dans l'inquiétude inavouée des basses terres,
Angoissants, angoissés, par une longue nuit,
Peut-être sans lendemain.

Et le vent de la mer
- Qui parle, se répète et n'écoute jamais -
De ses doigts gantés de glace touchant les harpes
De la tempête, poussait au large, le tonnerre
Irresponsable de grands paroles émergées.

mercredi 19 décembre 2012

récré du mercredi


le prénom du mercredi pour la cour de récré de Jill
 OLGA ?
 Objectif Laborieux Généreusement Accordé ?
Office du Langage Galant Abrégé ?
Organisme Libre de Génétique Appliqué ?
Ordre Littéraire des Geographes Associés ?
Observatoire Limité des Grenouilles Arboricoles ?
Et non OLGA rien de tout ça
Puisque c'est ma tante à moi

 Tante Olga
Chante un air d'opéra

lundi 17 décembre 2012

les fourberies du sapin


Noël approchait...

     Aux jours qui se faisaient courts, au vent qui soufflait et au ciel souvent maussade je me rendais bien compte que l’hiver était proche. Et maintenant je savais que quand on pense hiver, on pense  Noël.
     Chaque année mes parents sortaient la crèche et complétaient la collection de santons, sous chacun d’entre eux on notait l’année d’achat comme un millésime sur les bouteilles, et comme pour le vin  il y avait des années meilleures que d’autres. Aujourd’hui les personnages se retrouvaient groupés par affinités, il y avait les musiciens, les bergers avec leurs chiens gardant les moutons, les villageois en costume et même des scènes de village comme les vieux assis sur un banc à coté d’un puits.


     Cette année je rêvais d’un sapin. Ça sent bon un sapin, une odeur fraîche un peu sauvage. Jusque là maman résistait prétendant que l’appartement était trop exiguë, que ça prenait trop de place, que ça faisait trop de saleté avec toutes ces aiguilles qui se planteraient dans la moquette…enfin un tas de bonnes raisons bien raisonnables.
     Oui, mais moi cette année je le voulais ce sapin. Aussi un soir je décidai de passer à l’action et au moment de la préparation du dîner je demandai :
 – Maman on pourrait avoir un tout petit sapin cette année ? Mais le grondement de la hotte aspirante devait couvrir ma voix car elle me répondit :
 – Chéri, tu ferais bien de mettre le couvert, le repas sera prêt dans un instant.
   C’était pas gagné ! Peut-être qu’en mettant le couvert sans rechigner et dès la première sommation, j’allais m’attirer ses bonnes grâces, aussi je pris les assiettes mais dans mes efforts de perfection, empilant les verres sur les assiettes, puis entassant les couverts ce qui devait arriver arriva et les couverts en tombant entraînèrent un verre qui roula  puis un autre qui s’écrasa sur le carrelage. C’était des vieux verres comme on n’en trouve plus, ils ne cassaient pas ils explosaient en milliers de morceaux. Prudent je décidai de remettre ma demande de sapin à plus tard et j’allais spontanément chercher l’aspirateur.
  – Mais enfin Loulou que fais-tu, attention voyons, c’est pas le moment, j’ai préparé du poisson et il va être trop cuit si tu traînes encore.
    Il ne manquait plus que ça ! Du poisson ! Encore un truc sans goût avec plein d’arêtes… La soirée est fichue pour le sapin, je voulais bien mettre des atouts dans mon jeu mais je n’irais pas jusqu’à faire semblant d’aimer le poisson. Demain, on verrait demain…
   Il me fallait des arguments et des soutiens. Avec un peu de ruse je pourrais arriver à mettre « Pôv’chérie » de mon côté. Pôv’chérie c’est ma petite sœur, la chouchoute à sa maman, Lucie a presque 3 ans et elle pleure avant même que je l’approche, donc c’est toujours MOI le coupable, tout ça parce que je lui ai tiré les cheveux une fois ou deux - pas plus - quand elle touchait à MES affaires.
   Cette fois je la laisserai toucher à mes voitures, enfin les plus anciennes qui sont déjà un peu cabossées, pas le dernier modèle  que papa m’a offert pour une super note à l’école, ce qui lui a valu les foudres de maman qui dit que c’est normal de bien travailler et que les carottes sont pour faire avancer les ânes (je n’ai pas bien compris ce que ces légumes et l’âne venaient faire dans cette histoire de note) mais cette voiture rouge c’est le top ! Enfin quand Azelle Lucie (c’est elle qui dit comme ça pour Mademoiselle Lucie) sera occuper avec mes voitures je lui parlerai des sapins, lui ferai écouter les chansons de circonstances : Mon beau sapin…  et même inventerai une histoire disant que les sapins attirent le Père Noël, que ça lui rappelle les forêts de son pays…bref vrai un lavage de cervelle (les cerveaux c’est pour les garçons, c’est papa qui l’affirme), comme pour les pubs à la télé, sapin sera le mot qu’elle entendra sans arrêt jusqu’à en rêver la nuit.
    Le père Noël vient du pôle Nord, enfin pas très loin mais d’un pays où il y a des rennes. Le père Noël s’appelle Alexandre et il a 6 rennes pour tirer son traîneau, c’est papa qui me l’a dit. Mais maintenant je suis trop grand, je sais toute la vérité que je dois cacher à Azelle Lucie, elle comprendra plus tard.
    Pour convaincre papa, je crois avoir une idée. Ce soir je lui demanderai de sortir son album de photos, celui que lui a donné Mamynou.
    Mamynou passe quelques après midi au Club de l’âge d’or, et là elle s’est prise de passion pour le scrapbooking depuis elle inonde la famille de ses albums- souvenir décorés. Moi j’aime pas. Toutes ces décorations, petits nœuds, cœurs, étoiles, bouts de ruban : ça fait kitch ! Mais ce soir ça devrait servir mon plan. Mamynou a recherché toutes les photos qu’elle avait de papa depuis le berceau jusqu’à l’année dernière, c’était son cadeau pour son quarantième anniversaire. « A mi-vie » a-t-elle dit, il est temps de faire le bilan de son passé. Eh bien, j’ai vu des photos de papa devant le sapin de Noël car chez Mamynou il y avait un sapin et on mangeait toujours des huîtres (beurk !), de la dinde avec des marrons, et une bûche au chocolat. C’est la tradition et il ne faut pas que ça se perde, dit-elle. Maman, elle, c’est plutôt nouvelle cuisine, je sens bien que ça grince fort entre toutes les deux, mais à la guerre comme à la guerre Lucie, papa, Mamynou et moi  contre maman : je devrais gagner la bataille du sapin.
   « Un petit qui ne perd pas ses aiguilles » Et me voici en route avec papa pour la jardinerie. Il y en avait des très grands, des grands, des moyens mais les petits étaient tous moches, rabougris, déplumés…Il a fallu parlementer (heureusement qu’on ne dit pas parle-mentir !) et nous nous sommes retrouvés avec un « moyen ».
    Là, les premières difficultés sont apparues. Il ne rentrait pas dans le coffre. Evidement il pleuvait. D’abord vider le coffre de tout ce qui est dedans et qui ne sert pas souvent, Ensuite ôter le siège de Lucie pour faire basculer la banquette, entasser tout ce qui était sorti sur le siège avant et m’installer derrière en tenant le sapin pour lui éviter de rouler sur papa. Ça pique ! Maman l’avait dit mais je serais stoïque.
   « Mais où voulez-vous mettre un truc pareil ? » Maman avait cédé mais sans conviction. On a joué aux quatre coins et ça n’allait jamais : trop près du buffet, trop  devant la fenêtre et on ne voyait plus le jour, trop dans le passage…enfin le voilà posé. Je n’en pouvais plus, c’est lourd, ça piiiiique !
    Patatrac, mal calé dans son pied bancal, il est tombé ! Un bout de carton parvint à coincer le socle et une ficelle discrète le retint à une poignée de porte : « Surtout ne touchez plus à cette porte » prévint  papa.
    A la porte, on n’a pas touché, personne, mais un courant d’air l’a fait claquer violemment ! Encore tout à refaire, je commençais à comprendre ma mère. Cette fois c’est bon, il est là debout, c’est géant !

    Et maintenant la décoration : guirlandes, boules rouges et dorées… je vais chercher l’escabeau et procéder méthodiquement. Commençant par les guirlandes, debout sur la pointe des pieds sur l’escabeau je fais TRES attention, en voici une de mise, pour la deuxième c’est plus facile, pour la guirlande clignotante un peu moins, les diodes s’emmêlent et il me faut de l’aide surtout que Lucie m’énerve en tournant autour de l’escabeau. Maman me dit de la laisser s’occuper à trier les boules par couleur, oui mais moi je n’arrive pas à mettre mes guirlandes sans tomber et à surveiller mes décorations. Cette fille n’a pas mon sens artistique, elle veut mettre toutes les boules dorées d’un côté et les rouges de l’autre, et moi je dis qu’il faut alterner les couleurs.
   « Laisse Lucie faire, il faut bien qu’elle participe aussi  sinon plus de sapin » me serine maman, j’entends papa qui répond : « Lucifer  c’est comme ça qu’on aurait du appeler mon petit diable ». Là non plus je n’ai pas compris cette histoire, il parait que je « comprendrai plus tard » ! Ça c’est une réponse que je déteste. Et pendant ce temps personne pour m’aider !
    Enfin le sapin est prêt, pas tout à fait à mon goût, ce soir je vais découper des monstres préhistoriques, ces animaux sont ma passion, le tyrannosaure était redoutable mais celui que je préfère c’est le ptérosaure,  je les collerai sur des cartons, je pense que ça fera très joli au bout des branches avec les Led clignotants à la place des yeux ça sera super dans le noir.
    Super ça l’a été surtout pour effrayer Lucie qui s’est mise à hurler et à trembler.
   « Quelle  horreur » cria maman à son tour.
    Décidément ma décoration personnelle ne séduisait pas le clan féminin de la maison.
    Et voilà plus de monstres…enfin j’avais mon sapin.  En fait j’étais un peu déçu. Il ne sentait rien ! Pourtant quand on se promène en vacances dans les Landes ça sent bon la résine, et là rien ! Ce sapin c’était en plein hiver un souvenir d’été, mais lui aussi déçu de se trouver  dans une ville qu’il ne connaissait  pas, à l’étroit dans un appartement,  il boudait et retenait son parfum, je voyais bien qu’il me défiait.
    Heureusement Noël a fait oublier tous ces tracas. Ce sapin aura été une expérience. Finalement mon rêve était plus beau que la réalité mais c’est sans doute le cas de tous les rêves, une raison de plus pour les vérifier et  je suis certain qu’un jour je réaliserai celui de dénicheur de nouveaux dinosaures en Australie…


Vous avez reconnue la photo des boules de Noël de Lénaïg qui ont illustré le coucou du haïku de la semaine passée et la carte de Lecture & Dialogue...


samedi 15 décembre 2012

Photo de la semaine 4

Photo de la semaine d'Amartia


Bientôt l'hiver le temps d'une promenade dans une serre d'orchidée
Des sabots de Vénus à mettre sous le sapin

Celle-ci c'est fait des frisettes pour le réveillon

Noël approche...

vendredi 14 décembre 2012

Haïku (6)

sur une image de Lénaïg

Illuminations -
Le sapin vert devient rouge
dans son décor

***

L'arbre enguirlandé
 laisse tomber une boule
- de l'or à son pied

***
(Merci Liliane pour ton aide précieuse)

jeudi 13 décembre 2012

Jeudi poésie Tartellettes Rostand

La gourmandise





Ragueneau parle :

« Comment on fait les tartelettes amandines.
Battez, pour qu’ils soient mousseux,
Quelques œufs ;
Incorporez à leur mousse
Un jus de cédrat choisi ;
Versez-y
Un bon lait d’amande douce ;


Mettez de la pâte à flan
Dans le flanc
De moules à tartelette ;
D’un doigt preste, abricotez
Les côtés ;
Versez goutte à gouttelette


Votre mousse en ces puits, puis
Que ces puits
Passent au four, et, blondines,
Sortant en gais troupelets,
Ce sont les
Tartelettes amandines ! »


Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac, Acte II scène 4


Photos 

mercredi 12 décembre 2012

Dario à la récré

La récré de Jill
Dario
Tu es le plus beau
Quand tu chantes comme Moreno
Je pars avec toi à Rio
Dario
Tu es le plus beau
Quand tu joues Sancho
Et accompagnes  le manchot
Tout au long de sa quête

samedi 8 décembre 2012

la photo de la semaine 3




La photo de la semaine à suivre chez Amartia


et cette semaine à la maison c'est
et
Une nouvelle douche pour Noël  les enfants peuvent arriver !

mais hier matin par la fenêtre de la cuisine c'était

vendredi 7 décembre 2012

Coucou du haïku 5


le coucou du haïku de Marie-Alice et Mamylilou
sur une photo d'Eliane


Au creux de mon arbre
deux coeurs battent la mesure
chouette, un hibou

***

Tronc aux quatre vents -
Les cicatrices du temps
rident mon front

***

jeudi 6 décembre 2012

Andrée CHEDID

Jeudi en poésie  - Jill
Andrée  CHEDID 1920 - 2011

                                                         illustration Lionel Caro
La Parole

Surgie de nos viscères
La parole
Survole nos sols et nos saisons
Elle dit en chaque langue
Se mire en chaque fiction
Amassant grains de jours
Et de sombres vents nocturnes
La parole ricoche sur nos terres
Butine en nos jardins
Insuffle de l'âme aux mots
Des rêves au quotidien
Régissant nos destins
La parole dissout ou fomente le crime
Tisse ou détruit le partage
Illumine ou foudroie les coeurs
Allumeuse de mots
Semeuse de promesses
La parole éveille nos mémoires
Et fonde nos horizons

mercredi 5 décembre 2012

Récré du mercredi

Prénom du mercredi


Victoire
Ne t'endort pas Victoire
Ne fait pas tant d'histoire
Ne me dit pas que tu tremblottes
Que tu veux déjà une bouillotte
Que tu veux trouver la bassinoire
Cachée au fond de l'armoire
Mettre un moine dans ton lit
Pour réchauffer tes pieds jolis
Ma douce marmotte
Reste près de moi où je sanglotte
Dormir tout l'hiver est illusoire
Surtout quand on s'appelle Victoire

dimanche 2 décembre 2012

Merci

Merci...un petit mot qui en dit beaucoup !
Une vie de squatteuse
Il était une fois, il y a quelques années, je cherchais un texte, poème sur le temps qui passe, le hasard me fait découvrir Bigornette,  je lui demande donc  l'autorisation de copier son poème, précisant que c'était pour une activité associative, nous essayons de faire fonctionner nos petits (tout petits) neurones nous réunissant environ une fois par mois...
Un premier jeu de devinette me fit découvrir Oxygène, en lisant les commentaires je m'amusais de son humour.
Puis Bigornette lança un autre jeu, celui du prénom, chaque semaine elle proposait un prénom plus ou moins utilisé - voir jamais -.
Sa vie  prit un tournant et depuis Dame Jill a repris les" prénoms de la récré " chaque mercredi.

Mamylilou m'invita à participer au "Coucou du Haïku" le vendredi, et avec plus ou moins d'à propos je tente depuis  cet exercice, dérogeant trop souvent aux règles strictes de cette discipline, n'est-ce pas Marie -Alice ?

Toutes ces participations, butinant   de blogs en blogs... des photos, de la poésie, de l'humour, des livres, des recettes, des voyages...que de découvertes, que de sensibilités,  tout un monde que je m'appropriais sans complexe...

J'étais bien au chaud, tranquille dans cette vie de pique-assiette quand tout à coup surgit Mildred qui a décidé : bon c'est fini la belle vie il faut se lancer...
C'est un coquine Mildred, elle a tout organisé, un blog clé en main, l' après vente assurée !
Un hic, énorme, je tape avec 2 doigts, et la technique c'est vivre sur Mars (je ne conduis pas) ! L'ordinateur pour moi c'est comme l'aspirateur on appuie sur le bouton et ça marche et voilà qu'on me parle de "liens" d'ajouter des images...qui ne se redressent pas toutes seules !

Mais Zorro Marraine Mildred est là et veille, redresse, conseille...

Alors maintenant je vous remercie  toutes, celles qui m'ont supportée avec patience et indulgence et aussi toutes celles que je ne peux nommer de peur d'en oublier je vous suis reconnaissante pour ces petits instants de bonheur partagé.

Vous êtes super.
Merci, merci, merci !