Tu l'entends ?
Si...
Ecoute bien...
Elle est là au dessus du bois !
Si...
Ecoute bien...
Elle est là au dessus du bois !
Encore ce cri strident
Douloureux, lancinant.
Elle est apparue samedi dernier
C'est un sifflement aigu
Qui m'a fait lever la tête,
Je ne l'avais jamais entendue auparavant.
Elle planait en grands cercles
Et toujours criant
Appelant
De cette plainte ininterrompue ...
Comment lui répondre
Qu'elle devra accepter sa solitude
Que désormais l'avenir lui sera
Comme une interminable nuit...
Toute la faune ailée
Ne pourra la consoler.
Son soleil a cessé de briller.
LC de la Cachette - texte - photo
Nous nous sentons tous à un moment ou à un autre comme cette buse.
RépondreSupprimerMais toi, Josette, tu le dis avec beaucoup de talent.
Bises de réconfort.
Comme la buse, parfois nous nous noyons dans la solitude et le vide... Nos cris n'ont aucun écho et nous errons seuls dans nos déserts
RépondreSupprimerTrès beau texte s'accordant au silence planant sur nos campagnes.. les oiseaux savent ils que nous les mettons de plus en plus en danger
RépondreSupprimerBonjour Josette. La buse crie sa solitude, comme peuvent le faire aussi les humains. Ton poème est très beau. Bisous
RépondreSupprimertrès beau poème Josette même si la solitude est triste pour cette buse. Bisous
RépondreSupprimerUn seul être vous manque et tout est dépeuplé, même si la vie continue, elle ne sera plus comme avant.... hélas, bises jill
RépondreSupprimerDes mots qui touchent! Chez moi, les buses sont légion et parfois peut-être crient-elles pour ne pas étouffer!!!
RépondreSupprimerBonjour, tristesse...
RépondreSupprimerTristesse et beauté.
Bonjour Josette, C'est un sifflement aigu
RépondreSupprimerQui m'a fait lever la tête,
Je ne l'avais jamais entendue auparavant.. Voila qui est si joliment écrit, touchant et poétique !
Bel écrit Josette ! J'en vois pratiquement tous les jours au dessus de chez moi et bien évidemment je les entends.Pas encore réussi à en mettre une dans la bôite à images.Bonne fin d'aprèm et gros gros bisous!
RépondreSupprimer"elle devra accepter sa solitude" : à moins que ce ne soit moi qui parte la première, c'est ce qui risque de m'arriver d'ici quelque temps... J'avoue que l'idée de la solitude m'épouvante autant qu'elle m'attire, puisque que pour moi elle est synonyme de liberté. Il faut beaucoup de courage pour affronter les moments où le chagrin déborde.
RépondreSupprimerJe me souviens qu'après la mort de mon père j'ai pleuré pendant des mois et des mois. Seule l'écoute de la musique classique parvenait à m'apaiser.
Je n'ai pas de souvenir précis du cri de la buse, pourtant je l'ai souvent observée en train de tournoyer avant de plonger sur sa proie.
Bon courage, Josette, je t'embrasse très fort
La solitude si bien décrite ...tes mots sont très porteurs ..
RépondreSupprimerBises Josette
Tres beau texte Josette qui chante si bien la solitude à l'unisson de cette buse .
RépondreSupprimerBises
Jazzy
bonjour
RépondreSupprimerje connait leur cri,, et leur allure dans le ciel
pensées pour celles des mont d 'arrée qui j 'espére ont échappée au feu
il n 'y en avait pas beaucoup .., je connaisait deux couples
bonne fin de semaine
kénavo Josette
superbe texte sur la solitude....je connais ! la voir si belle, si seule dans ce beau ciel bleu....on espère qu'elle va trouver dans son périple quelqu'un à qui s'attacher....merci Josette !! bon dimanche !
RépondreSupprimerMais notre soleil continue à tout griller ma Josette.
RépondreSupprimerC'est joli ce que tu as écrit.
Bises et bon début de semaine - Zaza
un très beau texte.
RépondreSupprimerUne fois j'ai recueilli une buse blessée dans mon jardin et je l'ai amené dans un centre d'oiseau. Elle a repris sa liberté après quelques jours de soins.
Bon lundi
Triste, mais si BEAU !!! Doux mois d'août tout entier, Josette !!! Bisous♥
RépondreSupprimerN.B. : Je ne comprends pas, je suis pourtant abonnée à ton blog et, je ne reçois jamais des avis d'écrits ; mystère pour mois ...