défi 245 Fanfan à la barre
"Souvenirs, attention danger ..." !
A partir d'une photo, ou d'un objet, d'une odeur , d'un lieu ,racontez- nous en quelques lignes , un souvenir bon, gai , ou triste,ou une anecdote de de votre enfance , que cela a réveillé en vous .
Les souvenirs c'est une inondation
C'est l'étreinte d'une émotion
D'un album de photos
Ce cimetière à portée de tiroirs
Chaque portrait ravive la mémoire
Avec tous les moments figés
L'évocation souriante ou grave
Des souvenirs fixés à jamais
Qui resteront graver
C'est l'étreinte d'une émotion
D'un album de photos
Ce cimetière à portée de tiroirs
Chaque portrait ravive la mémoire
Avec tous les moments figés
L'évocation souriante ou grave
Des souvenirs fixés à jamais
Qui resteront graver
Un jour de Chandeleur
Des crêpes à la bonne odeur
Celles de ma maman toujours essayées
...Jamais égalées
Elle jonglait avec 3 poêles
Et vite les crêpes parfumées
A la fleur d'oranger
Envahissait la cuisine
Mon père rappliquait
Pour chaparder la dernière arrivée
Maman faisait semblant d'être fâchée
Ravie de ce régal apprécié
LC de la Cachette texte - photos
Il ne manque que l'odeur de ces crêpes ..événement toujours heureux a notre époque !!
RépondreSupprimerBon souvenirs , merci Josette
Bises
Le Château
RépondreSupprimerDans un petit hameau,
Là-bas, dans le Berry
Non loin de Beaulieu-sur-Loire,
Il y avait un château,
Mais un château bizarre.
Point de tour, point de donjon,
Pas une fenêtre à meneaux
Point de jardin à la « Le Nôtre »
Mais c’était un Château,
C’était le nôtre.
Et c’était son nom.
Une cave, une remise,
Etaient ses dépendances ;
Pour avoir l’eau précieuse
A la vie, un puits,
Une cabane au fond du jardin
Pour nos besoins,
Et puis
A l’intérieur
Point de confort,
Une vie sans aisance,
Mais une vie heureuse.
C’était le temps
De nos premières vacances
De citadins,
Dans une maison si vieille,
Mais pas trop délabrée
Que nous avions appelée
le Château.
Dans ce petit hameau
Quand on parlait du Château
Chaque habitant savait
De qui et de quel endroit
Il s’agissait.
Quand nous étions partis
A la petite rivière
Où chez Marguerite et Patient,
Nos Arrière-Grands-Parents,
Nous entendions le son du clairon
Que sonnait notre Grand-Père.
Nous savions
Qu’il était l’heure
de retourner au Château,
la vieille maison du bonheur.
Bonne journée Josette et gros bisous !
Ah! La bonne odeur des crêpes ... La cuisine éveille souvent de bons souvenirs, mais on n'arrive jamais à égaler nos mamans... Tu es mignonne dans les bras de ta maman.
RépondreSupprimerBonne semaine
Les crêpes sont toujours liées à des souvenirs heureux et la plupart du temps familiaux.
RépondreSupprimerCelle qui tournait autour des poêles, c'était moi la gourmande et la chapardeuse.
Mon papa, lui, avait la patience d'attendre.
Par contre quand c'était mémé qi faisait les crêpes, pépé était encore plus chapardeur que moi!
Bonne semaine, Josette.
Grosses bises
Les plats de sa maman restant gravés à jamais et que l'on ne retrouvent jamais totalement juste parce qu'ils ne sont pas cuisiné par maman ! C'est si vrai !
RépondreSupprimerTrès proustien, ce souvenir olfactif !
RépondreSupprimerJ'aime également le poème de Claude.
RépondreSupprimerCoucou Josette, très beau poème, bravo ! Gros zibous.
RépondreSupprimerQuel beau souvenir-poème ! Je sens l'odeur des crêpes de chez moi ! Ah ces bonnes odeurs de l'enfance, qui nous renvoient aux vacances ou aux dimanches passés douillettement tous ensemble même si parfois on restait à la maison...Bises et merci pour ce partage
RépondreSupprimer"Chaque portrait ravive la mémoire", comme c'est juste.
RépondreSupprimerC'est bien le pourquoi du précieux de nos albums qui nous rappellent ce qui fut et qui est à tout jamais vécu.
Doux souvenirs que les crêpes de ta maman et une belle dextérité ! Les souvenirs gourmands sont ceux que nous faisons revivre avec nos propres enfants.Alors vive les crêpes ♥
Que de souvenirs quand on feuillette nos vieux albums?
RépondreSupprimerton poème est plein d'émotions, j'aime beaucoup...
Moi, je fais toujours les "gaufres en cœur" de ma grand-mère malgré la même recette je ne les trouve pas aussi bonnes!
Les souvenirs d'enfance ma Josette, les meilleurs sans aucun doute !
RépondreSupprimerBises et bon début de semaine
On arrive jamais a la cheville de maman quoique on fasse ! Joli souvenirs partagé Josette. Bisous douce semaine
RépondreSupprimerJosette, pour en revenir aux crêpes, j'ai tout ce qu'il faut pour en faire un soir, avant ou après la futur pizza.
RépondreSupprimerJ'ai le souvenir d'un oncle qui les faisait se retourner en l'air un louis d'or dans la main.
C'est vrai Josette, on trouve la plupart du temps des êtres chers disparus dans un album photos... C'est avec nostalgie que l'on se remémore les bons moments, et, faire sauter les crêpes en est un. On souhaite vraiment que chacun ait en lui ce souvenir parfumé et onctueux, à la frange de dentelle croquante. Les Cabardouche vous remercient pour cette agréable lecture.
RépondreSupprimerCoucou Josette
RépondreSupprimerMoi, c'était ma grand mère qui faisait des "pets de nonne" par immenses saladiers entiers pour toute sa maisonnée, car ses 3 enfants ont habité lgtps chez elle, avec leurs enfants, dans leur minuscule appartement de 3 chambres, petite cuisine sans eau chaude, mais une cuisinière au charbon, qui servait de chauffage, et une salle à manger où nous nous entassions serrés-collés
Nous étions tous très friands de sa cuisine, fort grasse pour notre époque éprise de beauté du corps... Avec chansons et danses après le repas.... Une ribambelle de cousin(e)s se disputaient les faveurs de Mémé, championne dans l'art de recevoir les siens....
J'ai bcp aimé ton poème... Merci Josette et bonne soirée toute douce avec tous tes souvenirs
Bisous
Ça sent bon les crêpes, Josette ! Magnifique, ton poème ! Quelle jolie photo !!! Bravo et bon mardi ! Bisous♥
RépondreSupprimerche bello farmi ricordare il cenci che si friggono nel periodo carnevalesco?!?
RépondreSupprimerI profumi e i ricordi sempre piacevoli e che non rompino quel cordone ombelicale che ci lega all'infanzia e a tempi di incosciente incertezza
Bello il tuo scrivere non mollare Andrea il montanaro
Magnifique souvenir en poème , Josette . Tu as bien raison les crêpes de nos mamans ont toujours ce goût inégalé du temps de l'enfance. Je me souviens aussi des séances dans la cuisine , un véritable exercice de trapéziste de la crêpe qui sautait d'une poème à l'autre pour le plus grand plaisir de nos papilles .
RépondreSupprimerBonne journée, ici grésil en matinée et le froid s'intensifie.
Bises
Joli souvenir jolie photo
RépondreSupprimerLes crêpes de nos mamans ou mère-grand sont toujours les meilleures
Bonne journée
Bises Josette
Avec quelques petits flocons
Que du bonheur!
RépondreSupprimerLes crêpes, Uel bon moment. Nous continuons avec les petits enfants.
RépondreSupprimerUn poème qui dit bien la force des souvenirs. Bises
Les albums de photos sont mieux que des cimetières. Ils nous font revivre des moments privilégiés de notre propre vie ou de vies passées qui nous sont chères. C’est un miracle tout comme la préparation des crêpes qui est à elle seule une belle preuve d’amour. Merci pour ce beau poème.
RépondreSupprimerComme tout, aujourd'hui les crêpes sont devenues une banalité pour nos chérubins mais je persiste à cultiver la tradition ;)
RépondreSupprimerJ'ai souvenir de soirées crêpes où ma grand-mère avait à peine fait retourné une crêpe qu'elle était dévorée (la crêpe, pas la grand-mère) :)
Bisous Josette.
De jolis souvenirs avec ta maman. La mienne faisait des crêpes fines et délicieuses. Bonne soirée et bisous
RépondreSupprimerQuel beau souvenir que ce moment des crêpes. Il me fait penser à ma Mère qui jouait mais avec seulement deux poêles. Et moi aussi je n'ai jamais réussi à égaler les siennes. Ni son merveilleux cakes aux fruits confits d'ailleurs.
RépondreSupprimerMerci pour ce charmant partage Josette
Gros bisous
hmmm j'en ai l'eau à la bouche ... bises
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