Pour les croqueurs de mots défi 173
Depuis combien d'année
Je suis là figé sans bouger
Sur le banc de cette rue animée
Combien d'année à écouter
Les passants les amants
S'embrasser se quereller
Insensible au temps
Combien d'année
Avant de réaliser
Que la ville a changé
Les arbres ont poussé
Les enfants ont vieilli
Des hommes ont perdu la vie
Combien d'année
A ne plus être regardé
Dans ce costume démodé
Dans le bronze pour l'éternité
Qui se souvient maintenant
De l'homme qui attend
Son rendez-vous galant
La femme aimée
LC de la Cachette - texte - clic sur photo
Bonjour Josette.... En effet dans son habit il ne date pas d'hier le pauvre homme qui continue d'espérer sa bien-aimée ailleurs depuis belle lurette ! Grâce à ton défi nous l'avons côtoyé, j'espère qu'il en fut un peu heureux... merci à toi, bon lundi Croqueur, bises
RépondreSupprimerLe pauvre il s'est figé sur place à force d'espérer, j'ai bien essayé de lui faire un petit guiliguili sous le menton, il n'a pas bronché, il doit être complètement désabusé :-)))))
RépondreSupprimerCoucou Josette dans ta Cachette. Ah, c'est la statue d'Andersen ? J'avais bien vu que tu avais pris ta photo en Andalousie. Eh bien, moi, je le salue avec respect, faute de le voir en vrai. Bravo à toi pour ta propre participation et pour ton beau défi, merci beaucoup, gros bisous.
RépondreSupprimerBonjour Josette. J'aime beaucoup ton poème qui me rappelle une chanson, et ta photo qui a inspiré de bien jolis textes chez les Croqueurs de mots. Bonne journée et bisous
RépondreSupprimerAh il faut dire qu'il a pourtant une plus belle vue à Malaga que sa petite sirène également figée devant le port de Copenhague. Merci pour ce défi Josette et pour ton texte bien sûr que j'aime beaucoup
RépondreSupprimercombien d'années encore decouvriront nous reci^roquement nos billets.
RépondreSupprimerj'ai posé pour une sculpture qui est à un endroit particulier de paris c'est rifgolo quand je passe prés d'elle et que les passants la regarde et bien je devient la scupture et je reçois une dose de valeurs que parfois vue ma date de péremption dans ma famille a ne cesser de me dénigrer à croire qu'il voudrait que j'appuie sur la gachette une bone fois pour eux, et bien je prendds une petite dose d'estime de moi , jusqu'où il faut aller parfois heureusement que je ne sis pas ce qu'il resume de moi la femme suceptible.
quand les gens ont limité les sphéres de leur cerveau leur orgeuil les fait nommer les choses comme un article de loi. et la il n'y a aucune chambre des sénateurs pour s'opposer à leur limitante sentence.
la sculture c'est bon je crois que je vais aller uy faire un tour.. un petit coup de bronze me fera du bien.
gros bisous josette
tu vois le défits des mots...
Chez toi je sais que tu connais aprés avoir vecu mon marathon des mots ... un fameux saint Sylvestre.
plein de tendres bisous belle jpsette.
RépondreSupprimerJ'adore ton poème qui va si bien avec ta photo
je lui trouve un air triste, tes mots sont appropriés.
RépondreSupprimerBon a.midi Josette
En attendant sa bien aimée, il peut se régaler de tes mots.
RépondreSupprimerDe jolis mots pour ce monsieur figé dans le temps en attendant c'elle qu'il a oublié au fil des années.
RépondreSupprimerBonne soirée Josette !
Le pauvre homme,il n'a plus le moral depuis le temps qu'il attend sa chérie!
RépondreSupprimerJ'ai refait un texte .je n'ai rien compris à la disparition de l'autre!
Mais qu'était-il allé faire à Malaga ? Et la petite sirène qui se les gèle à Copenhague ? Ça m'a tout l'air d'être une vengeance...
RépondreSupprimerGROS BECS m'tiote Josette !
Tout est beau, évidemment, et j'ai lu de belles participations pour ce merveilleux défi.
RépondreSupprimerMerci, Josette.
Gros bisous et douce soirée.
Bonjour Josette
RépondreSupprimeroh oui,il en a vécu cet homme ,de belles et de mauvaises,un regard sur chaque jour,quelqu'en soit le temps
belle journée
dans quelques années, je relirai ses contes à ma petite fille. C'était un beau thème que tu nous as proposés même si un peu difficile ; l'inspiration a mis plusieurs jours pour arriver. Bises
RépondreSupprimerbonjour
RépondreSupprimeril reste la sans bouger , figé dans le temps
j 'espére qu 'il voit quand même passer les badauds
ou qu 'il pense encore à d ' autres contes pour nos petits enfants
bonne fin de journée Josette
Non seulement ton texte est fort beau, mais superbe aussi la figure qu'il dessine ! waouuuh ! du grand art....
RépondreSupprimerMerci pour ce thème qui a si bien inspiré les croqueurs !
Bisous
C'est vrai que ton thème nous a tous bien inspirés. J'ai pris beaucoup de plaisir à participer.
RépondreSupprimerMerci à toi pour cette prise de barre.
Bisous.
Domi.
figé pour éviter l'oubli
RépondreSupprimerFigé dans le temps et dans son amour. Une bien jolie démonstration pour ce thème que tu nous a proposé. merci à toi. Chloé
RépondreSupprimerTon poème, Josette, résume parfaitement la malchance du pauvre Andersen dans ses affaires de cœur. Quelques uns de ses contes sont inspirés de sa propre vie sentimentale. Plusieurs fois éconduit, notamment par la cantatrice suédoise Jenny Lind, il ne s'est jamais marié.
RépondreSupprimerPauvre homme, il s'est statufié à force d'attendre la femme qui n'est jamais venue. J'ai beaucoup aimé
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