lundi 7 novembre 2016

Croqueurs de mots Défi N° 173 Sur le banc

Pour les croqueurs de mots défi 173

Andersen à Malaga
Depuis combien d'année
Je suis là figé sans bouger
Sur le banc de cette rue animée

Combien d'année à écouter
Les passants  les amants
S'embrasser se quereller
Insensible au temps

Combien d'année
Avant  de  réaliser
Que la ville a changé
Les arbres ont poussé
Les  enfants ont  vieilli
Des hommes ont perdu la vie 

Combien d'année 
A ne plus être regardé
Dans ce costume démodé
Dans le bronze pour l'éternité
Qui se souvient maintenant
De  l'homme  qui  attend
Son rendez-vous galant
La femme aimée
Qui l'a oublié



LC de la Cachette  - texte - clic sur photo

22 commentaires:

  1. Bonjour Josette.... En effet dans son habit il ne date pas d'hier le pauvre homme qui continue d'espérer sa bien-aimée ailleurs depuis belle lurette ! Grâce à ton défi nous l'avons côtoyé, j'espère qu'il en fut un peu heureux... merci à toi, bon lundi Croqueur, bises

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  2. Le pauvre il s'est figé sur place à force d'espérer, j'ai bien essayé de lui faire un petit guiliguili sous le menton, il n'a pas bronché, il doit être complètement désabusé :-)))))

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  3. Coucou Josette dans ta Cachette. Ah, c'est la statue d'Andersen ? J'avais bien vu que tu avais pris ta photo en Andalousie. Eh bien, moi, je le salue avec respect, faute de le voir en vrai. Bravo à toi pour ta propre participation et pour ton beau défi, merci beaucoup, gros bisous.

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  4. Bonjour Josette. J'aime beaucoup ton poème qui me rappelle une chanson, et ta photo qui a inspiré de bien jolis textes chez les Croqueurs de mots. Bonne journée et bisous

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  5. Ah il faut dire qu'il a pourtant une plus belle vue à Malaga que sa petite sirène également figée devant le port de Copenhague. Merci pour ce défi Josette et pour ton texte bien sûr que j'aime beaucoup

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  6. combien d'années encore decouvriront nous reci^roquement nos billets.
    j'ai posé pour une sculpture qui est à un endroit particulier de paris c'est rifgolo quand je passe prés d'elle et que les passants la regarde et bien je devient la scupture et je reçois une dose de valeurs que parfois vue ma date de péremption dans ma famille a ne cesser de me dénigrer à croire qu'il voudrait que j'appuie sur la gachette une bone fois pour eux, et bien je prendds une petite dose d'estime de moi , jusqu'où il faut aller parfois heureusement que je ne sis pas ce qu'il resume de moi la femme suceptible.
    quand les gens ont limité les sphéres de leur cerveau leur orgeuil les fait nommer les choses comme un article de loi. et la il n'y a aucune chambre des sénateurs pour s'opposer à leur limitante sentence.

    la sculture c'est bon je crois que je vais aller uy faire un tour.. un petit coup de bronze me fera du bien.
    gros bisous josette
    tu vois le défits des mots...
    Chez toi je sais que tu connais aprés avoir vecu mon marathon des mots ... un fameux saint Sylvestre.

    plein de tendres bisous belle jpsette.

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  7. J'adore ton poème qui va si bien avec ta photo

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  8. je lui trouve un air triste, tes mots sont appropriés.
    Bon a.midi Josette

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  9. En attendant sa bien aimée, il peut se régaler de tes mots.

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  10. De jolis mots pour ce monsieur figé dans le temps en attendant c'elle qu'il a oublié au fil des années.
    Bonne soirée Josette !

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  11. Le pauvre homme,il n'a plus le moral depuis le temps qu'il attend sa chérie!
    J'ai refait un texte .je n'ai rien compris à la disparition de l'autre!

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  12. Mais qu'était-il allé faire à Malaga ? Et la petite sirène qui se les gèle à Copenhague ? Ça m'a tout l'air d'être une vengeance...
    GROS BECS m'tiote Josette !

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  13. Tout est beau, évidemment, et j'ai lu de belles participations pour ce merveilleux défi.
    Merci, Josette.
    Gros bisous et douce soirée.

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  14. Bonjour Josette
    oh oui,il en a vécu cet homme ,de belles et de mauvaises,un regard sur chaque jour,quelqu'en soit le temps
    belle journée

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  15. dans quelques années, je relirai ses contes à ma petite fille. C'était un beau thème que tu nous as proposés même si un peu difficile ; l'inspiration a mis plusieurs jours pour arriver. Bises

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  16. bonjour
    il reste la sans bouger , figé dans le temps
    j 'espére qu 'il voit quand même passer les badauds
    ou qu 'il pense encore à d ' autres contes pour nos petits enfants

    bonne fin de journée Josette

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  17. Non seulement ton texte est fort beau, mais superbe aussi la figure qu'il dessine ! waouuuh ! du grand art....
    Merci pour ce thème qui a si bien inspiré les croqueurs !
    Bisous

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  18. C'est vrai que ton thème nous a tous bien inspirés. J'ai pris beaucoup de plaisir à participer.
    Merci à toi pour cette prise de barre.
    Bisous.
    Domi.

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  19. Figé dans le temps et dans son amour. Une bien jolie démonstration pour ce thème que tu nous a proposé. merci à toi. Chloé

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  20. Ton poème, Josette, résume parfaitement la malchance du pauvre Andersen dans ses affaires de cœur. Quelques uns de ses contes sont inspirés de sa propre vie sentimentale. Plusieurs fois éconduit, notamment par la cantatrice suédoise Jenny Lind, il ne s'est jamais marié.

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  21. Pauvre homme, il s'est statufié à force d'attendre la femme qui n'est jamais venue. J'ai beaucoup aimé

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