Pour l'Herbier d'Adamante clic
Ils dansent c'est la vie
Pour la Dame Blanche
La pudeur la peur l'inconnu
C'était l'attente
Ils dansent c'est la vie
Pour la Dame Rouge
La désillusion la violence
C'était le sang
Ils dansent c'est la vie
Pour la Dame Noire
La tristesse le deuil la misère
C'était la guerre
Elle danse la valse de l'oubli
La danse macabre de sa vie
En robe blanche rouge et noire
Elle a dansé sans même penser
C'était hier c'est aujourd'hui
La mort vient l'inviter
La vie est finie
page programmée
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LC de la Cachette - texte
Bel hommage à la vie à la mort ....
RépondreSupprimerBises Josette
J'aime beaucoup ton interprétation...La vie qui se décline au rythme du temps qui passe jusqu'à la mort qui met fin à toute musique.
RépondreSupprimerBelle interprétation!
RépondreSupprimerCurieusement, il y a quelque chose de Maurice Denis, dans ce tableau de Munch, pourtant aux antipodes l'un de l'autre ...
le dessin cernés ? cette lune comme la tête d'un homme en croix m'a aussi beaucoup intrigué chez Munch !
SupprimerLa lune et son reflet, qui font un i majuscule, dans ce tableau comme dans d'autres du même peintre créent un effet étrange.
RépondreSupprimerIl y a eu une belle exposition en 2012 au musée des Besux-arts de Caen sur "l'univers d'Edvard Munch, "particulièrement son oeuvre gravé.
SupprimerLe I majuscule se retrouve dans plusieurs paysages , souvent avec une femme aux longs cheveux dénouès au premiet plan.
Triste réalité de la vie... ainsi va t'elle !! Merci Josette, bises
RépondreSupprimerJe préfère ton texte au tableau car je n'aime pas very Munch.
RépondreSupprimerJ'aime bien ta petite piscine.
Bises
Tout est dit dans ton poème.
RépondreSupprimerTalentueuse interprète et poète tu es !
Merci pour Desnos !
Belle après-midi, Josette !
La vie passe si vite, en rouge, en blanc ou en noir, tu as bien exprimé ce que semble suggérer ce tableau
RépondreSupprimerBises Josette
Merci, Josette, pour cet hommage rendu aux victimes de la barbarie.
RépondreSupprimerGrâce à lui je vois dans ce tableau de Munch l'heureuse ignorance de notre destin, jusqu'au moment où.. le mouvement brutal de la faux (symbolisée par la femme en noir) s'abat sur nous.
Ironie du sort, le 14 juillet dernier la mort était en blanc.
Comme MissY je vois davantage un "i" qu'un crucifié dans ce tableau.
Et je suis d'accord avec elle pour ce qui est du symbolisme de Maurice Denis ayant influencé Munch (confirmé ici).
Les débuts d'Edvard Munch furent bel et bien symbolistes, comme le démontre cet article qui qualifie sa "Mélancolie" (1894) de "premier tableau symboliste norvégien".
Bises mélancoliques (suis anéantie par la canicule)
je ne connaissais pas cette toile merci de nous la fire connaitre on retrouve en chaque être le cri.
SupprimerMerci de ta poésie qui retrace bien sa mélancolie. bisous bisous
la première image du I a été un "enfant" celui du couple danseur ? puis cet "enfant je l'ai vu mort d'où la robe rouge... ce n'est que subjectif et sans étude...pour ne pas être influencé dans le "ressenti" !
Supprimerla chaleur m'épuise aussi et les petites à la maison ...ne laissent pas trop le temps de faire la sieste à l'heure chaude.
bonne nuit...j'espère Tilia
C'est vrai que j'ai été intriguée par ce point sur le i ....
RépondreSupprimerne dit-on pas "mettre les points sur les i" ? Sur quoi ? sur l'absurdité de la vie, ou bien sur l'absurdité de son "Moi" tout puissant ? ...
"porter sa croix" : renoncer à vouloir maîtriser seul son existence ... pour dans une vie qui va au-delà de Soi" ?
Vie alourdie de tant de douleurs, de tant de fardeaux au cœur d'un monde si dur et violent, semble soupirer la Femme en noire, les mains en prière... qui a sans doute fait le deuil de son amour-propre ... qui a compris toute l'inutilité de l'amour-propre et toute la portée de savoir souvent renoncer à Soi pour se porter vers les autres, comme elle le fait en contemplant ce jeune couple rempli de passions éphémères et cette jeune encore innocente qui se porte vers la Fleur de l'Amour sans vouloir encore s'y livrer elle-même.....
Merci Josette pour ce très beau billet et bisous
tu as eu raison, il n'y avait rien à changer dans cette belle interprétation d'un tableau qui dit tant sous ses traits naïfs
RépondreSupprimerBonsoir Josette. Je n'aime pas du tout ce peintre dont les tableaux me mettent à l'aise mais tu as joliment brodé autour. Bisous
RépondreSupprimerTriste ton texte..rapport avec le peintre sans doute
RépondreSupprimerGros bisous Josette.
RépondreSupprimerMerci pour ce magnifique poème sur la vie...la mort...je ne connaissais pas ce tableau et avoir d'en avoir vu l'auteur, je me suis dit que les personnages ressemblaient à celui qui était dans "le cri"....
RépondreSupprimerc'est dur les gamins à la maison ! j'en ai 3 en ce moment et je ne sais plus comment je vis !! bises
très approprié ton texte par rapport au tableau
RépondreSupprimerbonne soirée Josette
Magnifique légende à la toile de Munch, je préfère de loin ton poème à la toile elle-même. Bravo, Josette, gros bisous.
RépondreSupprimerMagistrale analyse, sous forme de poème, de ce très beau tableau de Munch qui me fait penser au tableau de Klimt : les Trois Ages de la Femme.
RépondreSupprimerBisous !